J'arrête pas de reprendre Copper pour raconter quelque chose dans la même journée. Je m'aperçois que cet amour est déjà fini. Ça me rend un peu triste. Bon, bien sûr, c'est moi qui écris, qui continue, mais... je vais quitter ce beau cahier de mémoires. C'est le plus intéressant de tous. Toutes ces analyses, ces sentiments, ces impressions.
Je vais pouvoir commencer « Pop-corn » pour la rentrée. Et je le répète, pour 10 francs, ce cahier est le meilleur remède pour le déses. Car je suis en bonne santé à part ça. C'est mon courage et ma volonté de m'en sortir qui m'ont amenée à ce point. Grâce à mon petit Copper.
J'aime parler de mon passé avec mépris et dire: «J'étais... j'étais» car en fait n’est jamais sorti de son déses! Ça me permet de me confier en me réconfortant, sans être humiliée ni tourmentée par la vérité, et de raconter très simplement, sans en rajouter, ni passer à la passoire, ce que je suis.
Je pense à cette Odile (belle-mère d'Ariane) (je ne l'aime pas trop. Je ne sais pas où j'en suis avec elle). Je lui disais: « C'était terrible dans le midi. J'étais nerveuse... Je ne pouvais pas dormir, etc. »
J'ai encore vachement de trucs à raconter. Je les dirai à Pop-corn.
Merci pour tout. Merci, Ariane.
Je t'embrasse sur les lèvres, Copper.
Ariane